Jules Laforgue
1860 - 1887
Le Sanglot de la terre
1879/1883
Texte:Jules Laforgue, Poésies ComplètesPascal Pia, Paris: Le Livre de Poche, 1970
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Le Sanglot de la Terre - Le plan (1879/1880)
Manuscrit du plan (1879/1880)
1° LAMASABACKTANI.
(Douter de Dieu, c'est douter de la vie elle-même, ce n'est pas moins que la mort. Heine.) Devant la rosace de Notre Dame Nocturne (Un violon) Insomnie (Il doit) [Lassitude] Ah! Je me reposais sur toi Insomnie (Ah! j'entendrai toujours) Insomnie (Bloc inerte) Avez-vous médité la tristesse des bêtes
2° ANGOISSES.
(Tout est seul?) à mon âme P. Bourget. Mais moi je veux savoir! [Curiosités déplacées] Résolution Le Sphinx (Ô mon beau chat frileux) Eclat de rire Crépuscule de dimanche d'été (Calme) Nuit d'été Mais si les déserts bleus
3° POEMES DE LA MORT. VARIATIONS SUR LA MORT.
Frère il faut mourir (Sonnet pour éventail) Tout continuera [Les Boulevards] Berceuse d'automne (La Terre va mourir) Frisson (Ce soir en remontant) Je suis les corbillards Maintenant je ne songe Réflexions dans la nuit (Un sonnet) Les heures vont vite Romance Crépuscule
4° RÉSIGNATIONS INFINIES.
(Epigraphe de Heine) Dénouement Le grand silence [La silence bleue] L'averse noie la vie Crépuscule de dimanche d'été [Crépuscule de juillet] Oh ! peut-être écoutez!
5° SPLEEN.
Spleen. (du soleil) Spleen (Tout m'ennuie aujourd'hui) Berceuse d'automne [Chanson d'automne] Roulades printanières [Sonnet de Printemps] Spleen [Les Spleens exceptionnels] (Heureux celui) Insomnie (Le jour est encor loin) Spleen [Triste, triste] (Je suis seul près du feu) Couchant d'été (Oh! triste n'est-ce pas?)
Poèmes contemporains du «Sanglot de la Terre»
Oh! je sais qu'en ce siècle... Au lieu des «derniers sacrements» Sur l'Hélène de Gustave Moreau Petite chapelle (1ère version) Petite chapelle (2ème version) Derniers soupirs d'un parnassien |